mercredi 28 janvier 2015

Assassinats par le Mossad : l'Argentine résiste, la France collabore

Face à une tentative de coup d’Etat israélien, la présidente argentine dissout les services secretsL’affaire Charlie a montré comment il était facile de désorienter et de mobiliser CONTRE LEURS PROPRES SENTIMENTS[*] des foules immenses de Français. Dans la foulée -mais probablement le complot avait été bricolé bien à l’avance en Israël- les cerveaux du Mossad ont voulu refaire à Buenos Aires le coup ukrainien (lui-même inspiré du programme contre Bachar al Assad): chasser un gouvernement élu et légitime, sous prétexte d’indignation populaire.
La presse mainstream, unanime, a fait descendre dans la rue des foules agitant des pancartes « Je suis Nisman », le procureur suicidé la semaine dernière; il s’agissait de déboulonner le gouvernement en place, de plus en plus ouvertement en guerre contre le sionisme. Mais la présidente se défend avec talent, et contre-attaque habilement.

La Président de l’Argentine Christina Kirshner a déclaré que son pays révoquera la citoyenneté à chaque argentin en possession d’un passeport argentin et israélien.
« Cette nouvelle loi rendra impossible pour un argentin de servir dans l’armée israélienne qui assassine des innocents et des enfants » a déclaré son porte-Parole.

I- Face à une tentative de coup d’État israélien, la présidente argentine dissout les services secrets

La présidente argentine Cristina Fernández de Kirchner multiplie les actes courageux et audacieux. Ne pas oublier qu’elle a su réconcilier la gauche de toute l’Amérique latine avec le pape (et donc les catholiques du monde entier), dont chaque allocution en faveur des pauvres est une accusation directe à l’oligarchie mondiale, qui ne s’y trompe pas.
Résultat de recherche d'images pour "cristina kirchner"Nouvelle étape dans les attaques frontales de la présidente contre le sionisme qui se croyait en pays conquis: la dissolution des services secrets, après en avoir chassé l’agent Jaime Siusso, patron immédiat du procureur Nisman, qui lui obéissait comme un jeune chiot.

[*] Les millions de Français qui sont descendus dans la rue le 11 janvier le faisaient pour défendre deux idées: la liberté de la presse, et la nation, leur pays, deux nobles idéaux qui doivent se combiner dans chaque peuple. Avec la publication du numéro posthume de Charlie, ils découvrent qu’on s’est foutu de leur âme, en les associant à la glorification de la pornographie et de la méchanceté pure (contre une sainte comme sœur Emmanuelle, comme jadis les mêmes agents israéliens avaient voulu ruiner la popularité de l’abbé Pierre, et au milieu d’attaques systématiques contre la religion chrétienne) et tout cela pour faire passer un max de lois liberticides. Nul doute que ces millions de Français ont maintenant compris la leçon, et compris qui sont les provocateurs qui manipulent leur gouvernement: Netanyahu paradait, ses agents jubilaient.

Lire le détail (en espagnol) sur les sites suivants :

II- Contrairement à la France, l'Argentine résiste au Mossad


Comme pour l'attentat de Charlie Hebdo, on reste stupéfait  du côté "travail d'arabe" de ces montages sous faux drapeau incroyablement bâclés. Décidément, la force du Mossad n'est pas dans l'art du camouflage; mais principalement dans l'art maffieux de la tuerie aveugle et du graissage de pattes des ripoux argentins (hier)  et français (aujourd'hui).
Tuer de la piétaille juive n'a jamais gêné le Mossad; les Sionistes supposent toujours que cela va ramener vers Israël plus de juifs sionistes. C'est la stratégie de la terreur.


Rappel (écrit le 25/02/2013).

La présidente Cristina Kirchner rend fous de rage les sionistes, parce qu'Argentine et Iran se sont mis d'accord sur une commission d'enquête mixte au sujet de l'attentat de 1994 contre le centre communautaire juif AMIA, dont Israël veut à tout prix faire accuser l'Iran.
En attendant de pouvoir réduire l'Iran en cendres et déclencher l'apocalypse sur toute la planète, les Israéliens expriment vigoureusement leur colère. Qu'on en juge: le dirigeant communautaire local Burger a même menacé publiquement la présidente d'un troisième attentat, après celui de 1994 et celui de 1992 (contre l'ambassade israélienne). Comme elle répondait avec une maîtrise parfaite à ce que toute l'Argentine a interprété comme une menace de mort contre sa personne (après Arafat et peut-être Chavez, quoi de plus plausible ...) "ah bon, et comment le savez-vous, et qui en seraient les commanditaires?", les organes juifs s'égosillent maintenant sur le thème plus consensuel d'après eux: le troisième attentat, c'est maintenant, sous nos yeux, c'est l'attentat culturel, les juifs argentins sont bafoués dans leur existence et dans leur essence même etc. Bref, "l'Holocauste argentin", chapitre 3, aurait lieu sous nos yeux, en ce moment même, dans l'indifférence complète du monde. A un détail près: c'est le Mossad qui avait organisé les deux attentats à la bombe de 1992 (23 morts) et 1994 (85 morts), l'enlisement des enquêtes, et l'accusation absurde de l'Iran. Voici l'état de la question à ce jour, selon les spécialistes argentins eux-mêmes (voir les contributions d'Adrian Salbuchi, Juan Gabriel Labake, José Petrosino mises en ligne le 7 février 2013 par LTV1 : http://youtu.be/i2weV2LUaic) .

1. Quelques faits

Il est établi par le centre de recherche en explosifs de l'université de Tucuman, que l'explosion de 1994 a eu lieu à l'intérieur du bâtiment de l'AMIA. Il suffisait d'ailleurs, dès le premier jour, de voir la photo des dégâts, les débris ayant été projetés à l'extérieur. Plusieurs témoins ont déclaré sous serment qu'aucune camionnette blanche Renault n'était arrivée sur les lieux, contrairement à l'affirmation immédiate des Israéliens.
Il est établi que c'est un officier du Mossad israélien qui a apporté, en avion, avec la commission d'enquête israélienne, un morceau de moteur dont on a voulu faire croire que c'était le reste de la camionnette piégée qui aurait été conduite par un terroriste arabe. Renault a identifié la pièce en question, provenant d'une voiture qui n'avait subi aucune déflagration. D'autres débris "trouvés" sur les lieux provenaient d'autres voitures encore.
Un témoin argentin a vu la personne qui, au carrefour le plus proche, a appuyé sur un détonateur, provoquant la déflagration. Ce témoignage a été validé par la commission d'enquête argentine. L'authentique terroriste, jamais recherché, avait le type européen, comme un autre personnage, le premier à avoir affirmé aux passants terrifiés que l'explosion était partie d'une camionnette blanche, Renault; celui-ci s'était promené sur les lieux aussitôt après l'explosion, mettant mal à l'aise les autres personnes qui avaient accouru parce qu'il ne semblait nullement ému; et il emporta tranquillement le contenu d'un grand sac, vidé puis rempli sur les lieux, sans être inquiété, grâce à la confusion générale et au retard des autorités pour interdire l'accès aux lieux.
Une semaine plus tard, les services israéliens ont creusé un trou dans la chaussée, et ont annoncé avoir trouvé le cratère correspondant à la voiture piégée (qui n'a jamais existé). Les enquêteurs argentins ont beaucoup ri.
Le jour de l'explosion, des sacs "de ciment" venaient d'être livrés, à l'entrée du bâtiment: aucune enquête à ce sujet, mais un Syrien fut plus tard accusé d'avoir livré des explosifs... à un membre du Hezbollah libanais qui... ne savait pas conduire ... se trouvait au Liban à la date des faits .. a été tué par les Israéliens deux mois plus tard... et aurait été doué d'ubiquité, ce qui lui aurait permis de commettre un attentat suicide à Buenos Aires, avec le succès que l'on sait.
En 1992, avait eu lieu la répétition générale : l'attentat contre l'ambassade israélienne avait été aussitôt présenté par les Israéliens comme provenant d'une voiture piégée inexistante, des sacs "de ciment" venaient d'être livrés, comme en 1994, et l'explosion eut lieu à l'intérieur du bâtiment. Apparemment, on remit le couvert parce que le président Menem n'avait nullement remis en question les accords de coopération de l'Argentine avec l'Iran à la suite du premier attentat. Après le deuxième, il fut un peu plus docile, et indemnisa sans tortiller l'AMIA à la hauteur des millions demandés.

2. L'enquête.

Le président Menem, d'origine syrienne, tenait à se faire bien voir des Israéliens. C'est ainsi que son premier voyage présidentiel fut pour Tel Aviv, et non pour Damas, comme il l'avait promis pour attirer le vote des Levantins. Il consentit à laisser le champ libre aux enquêteurs israéliens, tout comme en 1992 d'ailleurs. Israël le remercia à sa façon, quelques années plus tard, l'accusant d'avoir été complice de l'attentat, à la tête d'une "connexion locale" syrienne, faisant du trafic d'armes...
Le juge Galeano fut prié par un agent israélien d'accuser un revendeur de voitures d'avoir fourni la voiture piégée (inexistante); il remit 400.000 dollars au dit revendeur pour se prêter au jeu, et accuser à son tour des policiers argentins (du bord opposé au parti politique de Menem, le président en place). Cette scène a été filmée (par des acolytes des policiers visés), à l'insu des deux personnes en question! On trouva sur l'agenda du revendeur le mot "Iran", d'une autre écriture que la sienne; il avait été mis sur écoute plusieurs jours avant l'attentat. Bref, dès le départ, il avait été choisi pour le rôle de coupable d'avoir fourni une voiture qui aurait été piégée. Mais il se débat fort bien depuis le départ, et il a survécu! Il est devenu le légendaire Telledin, que les Argentins appellent le "Lee Oswald" de l'affaire; il a fait dix ans de prison, après quoi il a été blanchi de toute accusation et relaxé, tandis que le juge était destitué, simplement.
En 2002, lorsqu'Israël et la Syrie semblaient trouver un accord sur la question du Golan, la piste iranienne fut réactivée. Un procureur fut nommé pour reprendre l'enquête à zéro, et répondit aux sollicitations israéliennes en faisant poursuivre l'ancien président de l'Iran, le ministre actuel de la défense, le chargé d'affaires à l'ambassade d'Iran à Buenos Aires et d'autres personnes également respectables. L'une d'entre elles, l'ambassadeur Soleimanpour, arrêté à Londres par Interpol, fut ensuite relâché et indemnisé, parce qu'il n'y avait pas l'ombre d'une preuve pour l'inculper. L'Argentine dut payer 280.000 dollars de frais de justice, et l'indemnisation.
Le dit procureur, toujours en activité, continue à demander l'extradition de 7 Iraniens, mais ne fournit toujours pas l'ombre d'une preuve aux autorités iraniennes afin que celles-ci puissent les juger et décider éventuellement de les remettre à la justice argentine. Les soi-disant témoins iraniens qui ont désigné les dites personnalités sont 12 moujahidines, mouvance terroriste explicitement reconnue comme telle par de nombreux pays, et ils sont recherchés par l'Iran; l'un d'entre eux est prisonnier de la CIA, en Allemagne, actuellement.
On comprend que les associations de défense des victimes désespèrent de la justice argentine: l'enquête sur le premier attentat a été tout simplement abandonnée, dès que la piste de la camionnette s'est révélée n'être qu'un bobard israélien; mais, correctement manipulées, ces associations n'envisagent pas encore d'autre explication à leur malheur que l'antisémitisme des néonazis locaux, qui ourdiraient constamment de savants complots, avec le soutien occulte des gouvernements successifs.
Comme le répète le professeur Juan Gabriel Labaké, les attentats de 1992 et 1994 furent les derniers d'une série de 17 attentats sous faux drapeau organisés et commis par Israël à partir des accords d'Oslo, avec des aspects techniques semblables (le premier à l'avoir affirmé, en montrant la logique sioniste à l'œuvre, le chercheur Nestor Ceresole, est mort brutalement à la suite de troubles gastriques, en 2003).

La responsabilité précise des dirigeants communautaires complices de l'assassinat d'une centaine de personnes au total, juifs et non juifs, dont un prêtre catholique (dans l'attentat de 1992), et sans compter les blessés, reste à établir avec précision. Mais déjà le ministre Timmerman pointe du doigt Rubén Beraja, le Madoff argentin, bel et bien condamné et emprisonné un temps pour avoir conduit l'Argentine à la débâcle financière de 2003, avec les malversations de la banque qu'il avait créée, alimentée par des fonds de pension, escroc notoire mais néanmoins autorité religieuse et président de la DAIA à l'époque des faits (le Crif local, officiellement en charge de l'amitié Israël-Argentine).  (voir http://www.voltairenet.org/article162827.html)

III- Témoignage : c'est le Mossad qui est derrière l'attentat de Charlie



Brève note d'introduction par Lasha Darkmoon : Je viens de recevoir un e-mail passionnant de mon ami Ellie Katsnelson , alias Mme Rothschild , une aristocrate allemande de filiation Rothschild, qui est tombée en disgrâce avec sa «famille» après certains événements traumatisants survenus lors de son adolescence, dont le mystérieux décès de sa mère dans les Alpes suisses en 1989. Mme Rothschild y déclare que l'affaire Charlie Hebdo était une opération du Mossad.

Cher Lasha,

Je ne vais pas écrire à la section « Commentaires » de votre site, comme vous le suggérez. Mais ce que je vais dire formellement est basé sur mes sources privées. Comme vous le savez, je réside en France et j’y ai de nombreux amis haut placés à Paris et ailleurs. Je suis convaincue que le cirque de Paris [NdT. L’attentat contre Charlie Hebdo] n'a pas été commis par des musulmans, et j’en suis certaine.

Les musulmans n’avaient rien, je le répète, rien à voir avec le carnage qui a eu lieu à Paris la semaine dernière.

Je connais quelques jeunes filles qui sont actives dans les mouvements palestiniens qui m’ont tout expliqué il y a deux jours de cela. Toute cette opération a été organisée à Bruxelles. Même le premier policier français, Ahmed Merabet, prétendument abattu, n’est pas du tout un musulman : son vrai nom est Avigdor, et le nom de son frère est Maloch, récemment changé en Melek- tous les deux sont des crypto-juifs au service du renseignement israélien, c'est-à-dire qu’ils sont agents du Mossad.

Avigdor est actuellement à Buenos Aires, et y restera pendant six ans, une procédure classique pour les agents israéliens ayant accompli une opération sous faux drapeau, ou des psyops israéliennes. Après cela, il refera surface avec une nouvelle identité, durée après laquelle, bien sûr, la populace aura tout oublié des attentats de Paris.

Est-ce que vous vous rappelez-vous Gladio [1] ? Si non, vous êtes en train de vivre exactement la même opération.
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Ellie K


Post-scriptum. En ce qui concerne la farce de Paris, j’ai oublié de mentionner le montant avec lequel ces tueurs sont payés. Il est de : 666.000 euros ou bien dollars, selon le pays dans lequel se déroule l'attentat. Le montant peut sembler aléatoire et insignifiant pour vous, mais une fois que vous savez à quel point la numérologie et les signes sont importants pour les Juifs kabbalistiques, les choses commencent à faire sens.

En outre, les caractéristiques nombre SIX sont importantes pour eux. Vous remarquerez, que c’est le nombre d'années pendant lesquelles les commandos effectuant l'opération ne sont pas autorisés à refaire surface. Ils doivent se terrer pendant six ans, vivre une respectabilité impeccable sous leur nouvelle identité. Quand ils ressortent enfin en pleine lumière du jour, ils ne reviennent jamais dans les pays de leurs forfaits. Ainsi Avigdor, le «héros» de l'opération Charlie Paris, et tout le reste de ses complices dans ce crime, vont commencer une nouvelle vie ailleurs: avec une nouvelle identité, de nouveaux papiers, un nouveau passeport, et même une nouvelle maison. Tout ce qui est nécessaire sera donné à ces agents pour leur permettre de prendre un nouveau départ dans la vie, y compris une femme ou une partenaire qui est aussi un agent infiltré. Rien, absolument rien, n’est laissé au hasard.
Hannibal GENSERIC


[1] Gladio (« Glaive » en italien) désigne le réseau italien des stay-behind, une structure créée dès le lendemain de la Seconde Guerre mondiale pour parer à une menace d'invasion soviétique. On désigne couramment par ce nom l'ensemble des armées secrètes européennes, dont l'existence a été révélée publiquement le 24 octobre 1990 par le Premier ministre italien Giulio Andreotti.
Gladio a été mis en place sous l'égide de la CIA et du MI6, comme structure de l'OTAN répondant directement au SHAPE. Cette structure avait comme fonction de « rester derrière » en cas d'invasion soviétique, afin de mener une guerre de partisans. Dans cet objectif, des caches d'armes étaient disposées un peu partout.
Ces réseaux fonctionnaient le plus souvent sans que les gouvernements nationaux en aient connaissance.
Pour plusieurs auteurs, Gladio est impliqué dans différentes actions violentes des années de plomb italiennes, mais l'ampleur de son implication faisait encore en 2005 l'objet de débats. La nature secrète des activités de l'organisation, et le fait que les archives de l'OTAN ne sont pas accessibles aux chercheurs, font du réseau un sujet controversé.
L'idée selon laquelle, sous la direction de la CIA, Gladio aurait tenté d'influencer la politique italienne, est soutenue par des historiens et des journalistes.  Wikipédia.


Source : http://www.darkmoon.me/2015/madame-rothschild-know-behind-paris-attacks/