mardi 22 mars 2016

Bombes à Bruxelles & divagations à Kiev

Les attentats de Bruxelles revendiqués par Daech ont à nouveau provoqué les trémoussements paniqués d'un système qui craque de partout. Les cofondateurs de l'Etat Islamique en Syrie (Obama, Hollande, Cameron, Erdogan, Merkel, les Saoudiens) viennent maintenant verser des larmes de crocodile devant les conséquences de leur folie, sans évidemment se remettre un tant soit peu en question ni admettre leur faute. Nous avions déjà vu ce comportement inique au lendemain des attaques de Paris, il n'y a hélas aucune surprise.
BREAKING NEWS - Attentats de Bruxelles: 34 morts (LIVE)
Mais, si c'était encore possible, Washington et ses chiots européens se sont fait dépasser sur l'échelle du ridicule. Et cette clownerie nous vient tout droit - évidemment ! - de Kiev où le chef des services secrets ukrainiens a accusé, je vous le donne dans le mille, la Russie d'être derrière les attentats de Bruxelles !
Ne craignant pas de devenir la risée de la planète, le patron du SBU, le désormais célèbre Vasily Gritsak, a déclaré : "Je ne serais pas surpris si l'on découvre derrière ces attentats un élément de la guerre hybride russe". Bingo, Vasily ! Tu viens de remporter le titre convoité de crétin d'or... Medvedev n'a guère eu à forcer son talent pour répondre à cette nouvelle pitrerie ukrainienne, qualifiant Gritsak de ce qu'il est : "une andouille".

22 Mars 2016 , Rédigé par Observatus geopoliticus 
 
Pour les personnes qui s'interrogent sur les événements de Bruxelles, prenez le temps de lire les 3 textes ci-dessous de 3 personnes différentes à 3 époques.

Rosa Luxemburg (1918):
« La guerre mondiale place la société devant l'alternative suivante: ou bien maintien du capitalisme avec de nouvelles guerres et un rapide effondrement dans le chaos et l'anarchie, ou bien abolition de l'exploitation capitaliste. »

George Orwell (1948):
« Jadis, les États luttaient réellement les uns contre les autres, et le victorieux pillait toujours le vaincu.
Aujourd'hui, ils ne luttent pas du tout les uns contre les autres.
La guerre est engagée par chaque État contre ses propres sujets [1] et l’objet de la guerre n’est pas de faire ou d’empêcher des conquêtes de territoires, mais de maintenir intacte la structure de la société.
Le mot « guerre », lui-même, est devenu erroné; il serait probablement plus exact de dire qu’en devenant continue, la guerre a cessé d’exister.
La pression particulière qu’elle a exercée sur les êtres humains entre l’âge néolithique et le début du vingtième siècle a disparu et a été remplacée par quelque chose de tout à fait différent.
L’effet aurait été exactement le même si tous les États, au lieu de se battre l’un contre l’autre, s’entendaient pour vivre dans une paix perpétuelle, chacun inviolé à l’intérieur de ses frontières.
Dans ce cas, en effet, chacun serait encore un univers clos, libéré à jamais de l’influence assoupissante du danger extérieur.
Une paix permanente serait exactement comme une guerre permanente: la guerre, c’est la paix. »

Guy Debord (1988):
« Cette démocratie si parfaite fabrique elle-même son inconcevable ennemi, le terrorisme.
Elle veut, en effet, être jugée sur ses ennemis plutôt que sur ses résultats.
L’histoire du terrorisme est écrite par l’État; elle est donc éducative.
Les populations spectatrices ne peuvent certes pas tout savoir du terrorisme, mais elles peuvent toujours en savoir assez pour être persuadées que, par rapport à ce terrorisme, tout le reste devra leur sembler plutôt acceptable, en tout cas plus rationnel et plus démocratique.
Certains ne verraient dans le terrorisme rien de plus que quelques évidentes manipulations par des services secrets; d’autres estimeraient qu’au contraire il ne faut reprocher aux terroristes que leur manque total de sens historique.
L’emploi d’un peu de logique historique permettrait de conclure assez vite qu’il n’y a rien de contradictoire à considérer que des gens qui manquent de tout sens historique peuvent également être manipulés; et même encore plus facilement que d’autres.
Il est aussi plus facile d’amener à « se repentir » quelqu’un à qui l’on peut montrer que l’on savait tout, d’avance, de ce qu’il a cru faire librement.
C’est un effet inévitable des formes organisationnelles clandestines de type militaire, qu’il suffit d’infiltrer peu de gens en certains points du réseau pour en faire marcher, et tomber, beaucoup. »

[1] Courrier International : en Tunisie, les terroristes sont au pouvoir


=====================================================
Voici quelques citations qui peuvent nous faire réfléchir sur les causes des violences qui éclatent en France ou en Belgique, mais qui sèment la mort à une bien plus grande échèle dans le Golfe Persique, en Afrique et au Moyen-Orient.
Ces vérités sont tues en France et en Belgique, et les violences sont utilisées par les mêmes qui arment, financent, soutiennent les terroristes. Mon respect envers les victimes, je l'exprime par la vérité, non par le silence qui pèse depuis trop longtemps sur nos peuples, qu'ils soient orientaux ou occidentaux.
« Nous, Etats-Unis, avons créé Al-Qaida. »  Hillary Clinton (2012),
« Le front al-Nosra [branche d’Al-Qaida] fait du bon boulot [en Syrie]. C’est difficile de les désavouer. » Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères, décembre 2012
« L’Occident, les pays du Golfe et la Turquie soutiennent l’opposition et la possibilité d’établir un émirat salafiste officiel ou pas, dans l’Est de la Syrie et c’est exactement ce que veulent les forces qui soutiennent l’opposition, afin d’isoler le régime syrien » Defense Intelligence Agency (2012), extrait d’un document déclassifié le 18 mai 2015,
« Souvenons-nous que les gens que nous combattons aujourd'hui, nous les avons créé il y a 20 ans parce que nous ne voulions pas que les Soviétiques contrôle l’Asie centrale. En partenariat avec les militaires pakistanais nous avons recruté des moudjahidines, des gens venus d’Arabie Saoudite importer leur mouvement wahhabite. » Hillary Clinton (2009)
« Il n'y a pas de pays musulman plus intégriste que l'Arabie Saoudite et pourtant c'est à la fois un ami et un pays important pour les Etats-Unis. Nous ne devons nous opposer à l'intégrisme que dans la mesure exacte où nos intérêts nationaux l'exigent. » James Baker(1996), ex ministre US des Affaires étrangères
« Quel est le docteur Frankenstein qui a créé ce monstre [l’Etat islamique] ? Affirmons-le clairement, parce que cela a des conséquences : ce sont les États-Unis. Par intérêt politique à court terme, d’autres acteurs – dont certains s’affichent en amis de l’Occident – d’autres acteurs donc, par complaisance ou par volonté délibérée, ont contribué à cette construction et à son renforcement. Mais les premiers responsables sont les États-Unis. Ce mouvement, à la très forte capacité d’attraction et de diffusion de violence, est en expansion. Il est puissant, même s’il est marqué de profondes vulnérabilités. Il est puissant mais il sera détruit. C’est sûr. Il n’a pas d’autre vocation que de disparaître. »
Vincent Desportes, Général de division, professeur associé à Sciences Po Paris, audition
le 17 décembre 2014 en vue du débat en séance publique sur la prolongation
de l’opération Chammal en Irak, en application de l’article 35 de la Constitution.
« Dans les années 1980, il est certain que l’Agence [la CIA] espérait répandre le fondamentalisme islamique en Ouzbékistan, cet objectif étant partagé par les renseignements pakistanais et saoudiens ; la CIA a même « engagé un exilé ouzbek vivant en Allemagne afin de produire des traductions du Coran en langue ouzbèke », qui devaient être distribuées à des factions islamistes. »
Peter Dale Scott, l’Etat profond américain (2015), p.112
« En 1998, le Président Clinton décida de soutenir l’Armée de libération du Kosovo (UCK), qui était appuyée par al-Qaïda. Cette politique fut mise en œuvre alors qu’ « en 1998, le Département d’Etat avait listé l’UCK comme une organisation terroriste internationale, l’accusant d’avoir financé ses opérations avec les revenus du trafic globale d’héroïne et des prêts accordés par des terroristes notoires, comme Oussama Ben Laden ». Il s’agit d’un autre exemple de cette volonté gouvernementale d’utiliser des forces de soutien liées à al-Qaïda pour remplir des objectifs géostratégiques. »
Peter Dale Scott, l’Etat profond américain (2015), p.124
« Les allégations de Kadhafi affirmant qu’il luttait contre l’extrémisme islamique, y compris al-Qaïda, à Benghazi, ont été rejetées comme farfelues par l’Occident. Pourtant, le 15 avril 1998, la Libye, avait été le premier gouvernement à dénoncer Oussama ben Laden à Interpol pour l’assassinat d’un grand expert allemand de l’extrémisme islamique, Silvan Becker, ainsi que son épouse Vera à Syrte en 1994. Kadhafi était toujours dans une lutte à la vie ou à la mort contre les extrémistes islamiques pour l’avenir de la Libye et de l’Afrique. Sa plainte à Interpol fut ignorée. Dans ce cas comme tant d’autres, les puissances occidentales se sont trouvées plus ou moins de facto du côté des extrémistes islamiques. »
Diana Johnstone, Hillary Clinton : la reine du chaos (2015)

« Il est assurément justifié de dire que l’Occident civilisé préfère avoir affaire à un califat médiéval intolérant imbibé de wahhabisme qu’à un dictateur arabe séculaire qui refuse de se prosterner devant l’autel du néolibéralisme occidental. »
Pepe Escobar, Sputnik news, 26 mai 2015
« C’est principalement sur la méthode que les Frères musulmans et les jihadistes ne sont pas d’accord. Sinon, ils poursuivent le même objectif. Leur principal ennemi, ce sont les Etats nationalistes et laïcs du monde arabe [que nous avons participé à détruire]. Cet ennemi passa avant même les puissances impérialistes. Si bien que pour combattre les premiers, ils n’hésitent pas à s’allier aux seconds. »
Mohamed Hassan, Jihad made in USA (2014)
« L'Irak, qui n'avait auparavant aucun lien avec le terrorisme, est devenu un havre pour les terroristes, subissant son premier attentat suicide depuis le XIIIème siècle. »
Jessica Stern (2014), enseignante à Harvard et spécialiste du terrorisme
« Souvenez-vous de Khalid al Hamad, ce rebelle qui avait porté le cœur d'une de ses victimes à la bouche en déclarant : "O héros de Bab Amr, vous massacrez les alaouites et vous sortez leurs cœurs pour les manger !". La vidéo du cannibale a fait scandale. Mais Khalid al Hamad était-il membre du Front Al-Nosra, de l'Etat islamique ou de quelque autre groupe "extrémiste" ? Non, c'était le chef de la brigade al Farouk affiliée à l'ASL [opposants au régime syriens, censés être des modérés, soutenus par les occidentaux et les monarchies du golfe]. »
Mohamed Hassan, Jihad made in USA (2014)
« Un soutien aux Islamistes : Le minuscule mais richissime Emirat du Golfe – dont l’armée est équipée à 75% par la France – a financé à hauteur de plusieurs dizaines de millions de dollars l’instruction de rebelles [en Syrie], souvent peu expérimentés. En sous-main, la Qatar a également livré plus de 20.000 tonnes d’armes aux insurgés, notamment des missiles antichars. Un soutient qui a reçu l’aval des Etats-Unis et des principaux pays occidentaux dont la France.»
Le Figaro, (21 octobre 2011) cité par Michel Collon, Je suis ou je ne suis pas Charlie ? (2015)
« La télévision pour laquelle je travaillais, Al-Lazeera, propriété du Qatar, a refusé de diffuser les images de combattants armés luttant contre le régime syrien sur les frontières entre le Liban et la Syrie. J’ai vu des dizaines de bandits armés traversant la frontière en mai 2011 ; la preuve évidente que la révolution devenait militarisée. Cela ne collait pas avec le récit requis d’un soulèvement propre et pacifique, c’est pourquoi mes supérieurs me demandèrent d’oublier les combattants armés. »
Ali Hasem, ancien journaliste du Qatar, cité par Mohamed Hassan, Jihad made in USA (2014)
« HBJ [Hamad ben Jassem Al-Thani, Premier ministre du Qatar et ministre des affaires étrangères jusqu’en juin 2013] a transformé Doha en station de repos pour la plupart des extrémistes du globe. La seule condition d'admission est d'être islamiste. Outre un bureau de représentation des Talibans, on trouve le Front islamique du salut algérien, plusieurs branches de fous de Dieu Tchétchènes, des Syriens intégristes, et la liste de ces avatars est sans limite. Vladimir Poutine est le seul à mal digérer cet œcuménisme. Enragé de savoir que l'ancien président tchétchène, le terroriste islamiste Zelimkan Iandarbiev, a ouvert une antenne à Doha, le patron du Kremlin envoie une équipe du FSB, le successeur du KGB, pour lui régler son compte [le 13 février 2004]. A l'heure du repas, une explosion met fin à la vie de ce saint homme. La fumée de la dynamite dissipée, deux agents de Poutine sont rattrapés par une patrouille : à Doha la police est rapide, elle roule en Porsche ou en Lamborghini. Quelques temps plus tard, imprudent, HBJ laisse partir pour Moscou une équipe sportive qui doit représenter le Qatar. Bien informé, Poutine lui-même téléphone à HBJ : "Si vous voulez retrouver votre équipe au complet, relâchez nos deux Russes !" Et Doha a docilement laissé filer les exécuteurs du Tchétchène. »
Le vilain petit Qatar, N. Beau et J-M Bourget (2013)

« Un ancien agent de la CIA, Bruce Riedel, a révélé que le principal financier saoudien du terrorisme en Afghanistan et en Bosnie était… Salman bin Abdulaziz Al Saud, qui est monté sur le trône en janvier 2015 avec le soutien et les félicitations d’Obama, de Hollande et de tous les dirigeants occidentaux. »
Michel Collon, Je suis ou je ne suis pas Charlie (2015)

« La seule distinction valable pour les Etats-Unis consiste à différencier les terroristes qui travaillent pour eux et ceux qui poursuivent leurs propres intérêts. Washington n'a pas de problème avec les combattant qui égorgent des enfants, arrachent le cœur de leurs victimes ou jouent au foot avec la tête de leurs ennemis. Pour autant que ces combattants se limitent à combattre l'armée syrienne sans contrarier les intérêts US. »
Mohamed Hassan, Jihad made in USA (2014)

« George Bush a lancé la guerre « contre » le terrorisme en 2001. Elle est menée avec la coopération de l’Arabie saoudite, du Qatar et du Pakistan. Or, les élites de ces trois pays ont été les principaux soutiens financiers et politiques des réseaux jihadistes que les Etats-Unis sont censés avoir combattus jusqu’à présent. Dans le même temps, les plus farouches opposants à ces terroristes sunnites – les gouvernements d’Irak, de Libye, de Syrie et d’Iran – ont été renversés (Irak, Libye), déstabilisés avec l’appui des Etats-Unis et de la France (Syrie) ou sanctionnés et menacés en tant qu’élément de l’ « Axe du Mal » (Iran). Selon des estimations crédibles, cette guerre « contre » le terrorisme aurait engendré au moins 1,3 million de morts en Afghanistan, en Irak et au Pakistan depuis 2001. »
Peter Dale Scott, l’Etat profond américain (2015)
« Ni le président des USA, Barack Obama, ni les 22 pays vassaux armés jusqu’aux dents faisant théoriquement partie de sa coalition de volontaires n’ont envoyé le moindre drone équipé de missiles Hellfire contre les brutes frappées de noir du faux califat [DAESH]. »
Pepe Escobar, Sputnik news, 26 mai 2015
« Les Américains ont pu détecter de l’eau sur Mars, mais ils ne parviennent pas à repérer les installations de l’Etat islamique. »
Vladimir Poutine, octobre 2015

« Israël ouvre ses frontières à des djihadistes d’Al-Qaïda et du Front Al-Nosra engagés dans la guerre civile en Syrie afin de les soigner, a assuré le Wall Street Journal cette semaine [le 12 mars 2015]. »
A. Yadlin, i24news.tv, mars 2015
« Les forces anti-terrorisme irakiennes ont arrêté en juillet 2015 quatre conseillers militaires étrangers provenant des Etats Unis et d’Israël qui étaient en train d’aider l’Etat Islamique, selon l’Agence de presse iranienne Tasnim. »
http://sputniknews.com/middleeast/20150307/1019201301.html
« La chaîne internationale allemande Deutsche Welle a publié la première vidéo réalisée par un média occidental montrant qu’EI [Etat islamique ou DAESH] n’est pas alimenté par le marché noir du pétrole ou par les rançons contre les otages, mais par des fournitures valant des milliards de dollars, acheminées en Syrie par la frontière de ce pays membre de l’Otan qu’est la Turquie, grâce à des convois de plusieurs centaines de camions par jour
Toni Cartalucci, 9 juin 2015, relayé par lesakerfrancophone.net

« La lutte contre le terrorisme génère des millions d’emplois dans les industries d’armement, de communication, etc. le terrorisme est nécessaire à l’évolution du système capitaliste, qui se reconfigure en permanence en gérant la crise. Daesh n’est donc par éradiqué mais entretenu. »
Richard Labévière (2015)

« Le terrorisme international n’existe pas. Ce que nous voyons n’est qu’un terrorisme instrumentalisé par les grandes puissances et qui n’existerait pas sans elles.»
Général Leonid IVASHOV (2001), ancien chef d’état-major des armées russes
« Au Moyen-Orient, avec la division systématique organisée, les Etats-Unis ont réussi à enterrer les tentatives des nations arabes de s’unir pour être plus indépendantes, mieux négocier le prix du baril, échapper au dollar-roi, utiliser l’argent du pétrole à leur avantage, tenir tête à Israël. Oublié tout ça ! A présent au Moyen-Orient, c’est tous contre tous, les peuples paient et les émirs sabrent le champagne. »
Jihad made in USA, Gregoire Lalieu et Mohammed Hassan (2014)
« Les trois plus grand remparts à l’islamisme wahhabite ou takfiriste au Moyen-Orient et en Afrique sont, avec l’Iran, les trois chefs d’Etats que nous, la France, ou nos alliés avons contribué à destituer ou à tenter de le faire : Mouammar Kadhafi, Saddam Hussein et Bachar el Assad. Tandis que les deux plus grands financiers de l’islamisme dans la région, L’Arabie saoudite et le Qatar sont nos alliés. Et n’oublions pas le rôle de docteur Frankenstein de l’Empire US auquel nous sommes inféodés, ni la stratégie du chaos suivie au Moyen-Orient par les tenants du grand Israël, cet état qu’il est aujourd’hui officiellement interdit de critiquer sous peine d’antisémitisme. Mais tant que les Français dorment, bercés par nos médias… qui, comme le disait Malcom X, arrivent à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. »
Lectures au peuple de France, facebook (2015)


N'y a t-il pas quelques questions à se poser ? Ne serait-ce que par respect pour les victimes, qu'elles soient Française, Belges, Afghanes, Syriennes...

Attentats sous faux drapeau à Bruxelles. L’opération Gladio 2.0 de l’OTAN suit son cours…

 
Hannibal GENSERIC