jeudi 24 mars 2016

Bruxelles. La filière turque confirmée


Sur cent réfugiés, vous avez un terroriste islamiste, et sur trois terroristes, vous avez un kamikaze prêt à mourir au signal émis par les Turcs.
Les Forces populaires kurdes opérant aujourd'hui en Syrie ont capturé un haut fonctionnaire du MIT  turc de renseignement (équivalent de la CIA) qui, sous la rubrique «interrogatoires renforcés», a impliqué le Président Erdogan dans les attentats de Bruxelles. Veterans Today a eu accès à des aveux enregistrés qui détaillent le rôle du MIT dans les explosions de Bruxelles ainsi que des plans pour encore plus d'attaques à travers l'Europe. Le «suspect» a avoué son rôle dans la planification de l'attaque de Bruxelles en coordination avec le commandement de Daech ISIS basé à Raqqah.


Les informations précises ayant permis la capture de ce super espion ont été fournies par un signal d'interception russe. On nous dit que les Russes ne seraient pas impliqués dans la capture proprement dite, mais qu'une équipe Spetsnaz était disponible pour le soutien.

L’espionnage turc dirige un centre de planification opérationnelle dans un complexe souterrain à Raqqah, selon notre informateur qui veut rester anonyme. Le centre, construit sous une installation sportive, contient des stocks d'armes chimiques et biologiques, y compris du gaz sarin, la grippe porcine et des tonnes de matériaux pour la production du gaz  moutarde et du chlore gazeux. Les États-Unis ont frappé le centre en Octobre 2014, la coordination avec une unité syrienne "Tiger", ce  qui a conduit à la capture d'officiers qataris, saoudiens et turcs lors d’une demi-douzaine d'opérations conjointes très secrètes.

Les notes d'interrogatoire que nous avons reçues jusqu'à présent du Secrétaire Général , le DR Haissam Bou Said du Département européen pour la sécurité et de l'information (DESI) indiquent que le MIT, service  de renseignement turc , était derrière les attentats suicides jumeaux horribles de Bruxelles et que des cellules terroristes turques à travers l'Europe avaient été prévues depuis des années en coordination avec une infrastructure de la criminalité organisée (traite des personnes, de stupéfiants) et de travailler avec des groupes israéliens et saoudiens pour la mise en scène de d’attaques terroristes sous faux drapeau.

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Selon notre source, Erdogan en personne a veillé à canaliser les cellules terroristes entraînées et formées par le MIT, cachées dans l'afflux soigneusement orchestrée des réfugiés. Il les a  dirigés vers des «couchettes» au sein des communautés de la pègre turque établie depuis longtemps en Allemagne, en Belgique et aux Pays-Bas.

Des sources de la communauté du renseignement américain notent que le crime organisé turc est centré à Munich attend, depuis plus d'une décennie, le « top départ » pour lancer ses attaques terroristes  contre les États-Unis à la veille de la prochaine élection présidentielle.

Par Nahed Al Husaini,
Chef du Bureau,
VT Damas
 http://www.veteranstoday.com/2016/03/24/breaking-exclusive-brussels-mastermind-captured-by-syrian-kurds-implicates-erdogan/









La Turquie revendique le bain de sang de Bruxelles


Depuis six mois, la Turquie menace la France, la Belgique et l’Allemagne et les somme de l’aider à éliminer le mouvement de libération nationale kurde. Idéologiquement le régime de Recep Tayyip Erdoğan considère en effet que les Turcs sont une « race supérieure » et que les Kurdes doivent obéir ou être éliminés. La France, qui avait pris l’engagement d’aider la Turquie à résoudre la question kurde « sans porter atteinte à l’intégrité de son territoire » (c’est-à-dire en déplaçant les Kurdes turcs en Syrie), mais n’était plus en mesure de tenir sa promesse, fut la première touchée. La Belgique qui donne asile aux Kurdes, a été la seconde cible.



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Le quotidien {Star}, organe officieux du régime de Recep Tayyip Erdoğan, ouvre sa "une" du 22 mars 2016 (c’est-à-dire le matin même des attentats de Bruxelles) sous le titre « La Belgique État terroriste ». Le journal reproche à la Belgique d’avoir laissé des familles de victimes kurdes de la guerre civile manifester à Bruxelles pendant le sommet UE-Turquie.
Tout terroriste choisissant sa cible, veille à passer un message pour justifier son action. La plupart du temps c’est ce message qui intéresse les terroristes et non pas l’ampleur de la catastrophe que va provoquer leur acte terroriste.
De la sorte, ils parviennent à contourner l’exclusion dont ils font l’objet de la part des médias conventionnels, et se trouvent soudain au centre du débat, sous le feu des projecteurs.
Dans le cas des attentats terroristes de Bruxelles, il pourrait y avoir plusieurs messages, dont un lié à l’existence même de l’UE [1]. Cependant, le message central, qui n’a cessé d’être répété par le gouvernement turc, par des groupes étatiques et para-étatiques et par la presse turque, concernait le soutien de la Belgique et de l’UE à la cause kurde.
Le président Erdoğan en personne, pendant que se tenait le sommet de l’UE avec la Turquie, prononçait une attaque violente contre l’Union européenne accusée d’héberger et de soutenir des organisations du mouvement de libération nationale kurde.
Le quotidien Star, organe officieux du régime de Recep Tayyip Erdoğan, ouvrait sa "une" du 22 mars 2016 (c’est-à-dire le matin même des attentats de Bruxelles) sous le titre « La Belgique État terroriste ». Elle était illustrée de photographies de Kurdes brandissant le drapeau du Rojava, la région autonome du Nord de la Syrie qui sert désormais de base arrière au PKK et constitue une menace majeure pour la Turquie.
Le même journal publie les menaces du président Erdoğan envers la Belgique.
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L’édition spéciale de Star du 23 mars est intitulée : « Le serpent que nourrissait la Belgique en son sein l’a mordue », faisant référence au discours prononcé par le président Erdoğan, le 18 mars dernier [2].
De plus, le journal islamiste Akita, un des organes du Parti de la Justice et du Développement, du 23 mars reprend le même argument en "une". Elle est illustrée par des photographies de l’ancien député Zoubair Indar, l’un des dirigeants du mouvement de libération nationale kurde, et de Fehriye Erdal, accusée du meurtre d’Ozdemir Sabanci, tous deux réfugiés politiques en Belgique. Un second titre précise : « La Belgique supporte les terroristes ».
Dans son éditorial d’aujourd’hui intitulé « Celui qui dort avec le terrorisme, se réveille avec lui », Khanty Ozisik, le principal chroniqueur du journal électronique pro-Erdoğan Internethaber.com, écrit mot pour mot :
« Le gouvernement qui dirige ce pays [la Belgique], en dépit des protestations et des objections de la Turquie, autorise et permet au PKK de faire sa propagande. Il n’a pas dit mot lorsque le PKK montait ses tentes et organisait des rassemblements avec ses militants. D’autre part, le gouvernement belge, en soutenant les Forces de défense populaire (YPG) [3], qui sont considérées comme le plus grand ennemi de l’État Islamique en Irak et en Syrie, a agi comme s’il disait aux djihadistes "Venez me mettre des bombes" ».
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Il y a d’autres documents et éléments attestant de la responsabilité turque, tout comme il y en a pour les attentats contre la France. Ces derniers ont eu lieu pour faire comprendre à François Hollande qui avait accueilli à Paris, à l’Élysée, les dirigeants du YPG en uniformes militaires, qu’il ne pouvait plus reculer quant à son engagement de créer un faux État kurde [4].
Ne prêtez pas attention à qui étaient les exécutants de ces attentats, ni au groupe dont ils se revendiquent. La Turquie constitue un allié stratégique de Daesh et est en mesure de passer « contrat » directement avec son équipe dirigeante.
J’espère que le Premier ministre grec et les membres de son gouvernement liront et analyseront tout cela, alors que par leurs actions ils ont livré notre pays en otage de la Turquie. S’ils ne se réveillent pas, nous serons confrontés à des événements inimaginables.
Traduction
Christian

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Hannibal GENSERIC