dimanche 21 mai 2017

Comment Trump a piégé magistralement les grands médias



Lors des pourparlers actuels, concernant la baisse des combats en Syrie, et qui se déroulent entre le General Joseph Dunford , chef d'État-major des armées des États-Unis, et le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, il a été révélé que le président Donald Trump a magistralement piégé les médias de propagande mensongère américains (et occidentaux) en employant la tactique de l'ancien stratège militaire chinois Sun Tzu : « Toute guerre est basée sur la tromperie. »

En effet, en homme d’affaires retors et avisé, et sachant (a) qu'il pourrait gagner l’élection présidentielle de 2016 contre Hillary Clinton, une adversaire « pourrie jusqu’au trognon», et (b) qu’il déclencherait aussi une réaction du « Deep State » contre lui, Trump a choisi, le 17 août, comme directeur général de sa campagne présidentielle l'ancien officier de marine américain Steve Bannon [1]. Son ascension météoritique à travers le monde des affaires et bancaires est crédité par sa dévotion au traité militaire de Sun Tzu (VIe siècle av. J.-C.Ve siècle av. J.-C.) « Art de la guerre », dont le précepte principal est : « Toute guerre est basée sur la tromperie. »
Steve Bannon (à gauche), Sun Tzu (centre) et le président, Trump (à droite)
Ayant pris le contrôle de la campagne présidentielle de Trump, Bannon a vite compris que le régime Obama espionnait Trump, ses proches et ses associés. Il s’est mis donc à faire fuiter « des informations secrètes » aux médias mainstream américains, alors que la plus grande crainte de Bannon  est la découverte par ces médias  des liens étroits de Trump avec la Chine, ce qui ferait dérailler la campagne de Trump.
Utilisant le précepte de l’« Art de la guerre », qui dit : « Même si vous êtes compétent, faites semblant d’être incompétent. Bien qu'efficace, faites semblant d’être inefficace », et afin de cacher des liens étroits de Trump avec la Chine avant l'élection, Bannon a lancé une campagne de désinformation délibérée faisant croire que Trump a des liens avec la Russie. Naturellement, et comme on ne le sait que trop, l’État Profond et  les tous les grands médias occidentaux sont tombés dans le panneau.
Hunter S. Thompson (1937-2005), journaliste et auteur américain,
et le fondateur du mouvement du journalisme gonzo
.
Sachant que toute enquête sur les liens de Trump avec la Russie ne donnerait rien parce qu'ils n’ont jamais existé, Bannon et ses associés de la Maison Blanche ont néanmoins continué à ravitailler les médias de propagande grand public américains (repris bêtement par les autres médias occidentaux)  par un flux régulier de fuites « suggestives », entretenant ainsi l'hystérie anti russe, basée sur de « fausses nouvelles ». Curieusement, cette hystérie s’est soudainement calmée hier lorsque Bannon et ses plus proches collaborateurs ont quitté Washington DC pour accompagner le président Trump dans son voyage international.
Image du jour 
Cette opération de désinformation, menée par Bannon, a été si magistrale, si réussie, qu’elle a amené, la semaine dernière, les grands médias américains, à louer la nomination de l'ancien directeur du FBI, Robert Mueller pour enquêter sur les soi-disant liens Trump-Russie. Nous avons montré, dans La guerre du « Deep State » contre le président Trump fait un détour par la Chine, comment cette nomination a été accomplie avec l'aide du siège en Chine du cabinet mondial d'avocats WilmerHale.
La seule fausse note qui  apparaît jusqu'à présent dans cette opération «  hystérie anti russe » de Bannon, a eu lieu la semaine dernière,  lorsque Matt Taibbi, un journaliste de gauche très respecté,  a remarqué l'absence totale de preuves à l'appui de tout lien Trump-Russie. Il écrit: « les penseurs libéraux abhorrent traditionnellement les tribunaux secrets, la surveillance secrète et les preuves secrètes. Dans le passé, ils auraient découragé les médias de diffuser des  charges non vérifiées ou invérifiables émanant de ces sources secrètes. Mais parce que c'est Donald Trump, personne ne semble se soucier de cette éthique. Qu’y a-t-il au cœur de cette affaire? Pourquoi ne pouvons-nous dire ce qui se passe? "
Faisant écho à l'inquiétude croissante de Matt Taibbi pour l’absence de toute preuve pour soutenir le racontar Trump-Russie, Philip Giraldi, ancien officier très respecté de la CIA, écrit « l'enquête sur la Russie et les Trumpsters a été une grande priorité au FBI et au Congrès pendant près d'un an ... mais jusqu'à présent, personne n'a apporté la preuve que quiconque a transgressé une loi ou même que quelqu'un a fait quelque chose de mal ».
Une récente étude de l'Université Harvard montre maintenant aussi que la couverture médiatique anti-Trump des médias charlatans dépasse maintenant plus de 85%  d’opinions négatives, avec CNN et NBC, qui assènent, sur une base horaire, leur propagande anti Trump, atteignant les  93%.
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John Podesta a illégalement accepté 35 millions $ de la Russie



Selon les enquêteurs, le directeur de la campagne présidentielle 2016 d’Hillary Clinton, John Podesta, a illégalement accepté 35 millions de dollars de la Russie.
Selon le groupe d'enquête Daily Caller, Podesta a omis de divulguer la réception de 75.000 actions d’une entreprise financée par le  Kremlin quand il a rejoint la Maison Blanche, sous Obama en 2014.
Podesta accepted millions of dollars from Russia whilst serving Obama and ClintonSelon Eutimes.net : Joule Technologies Unlimited - financé en partie par une entreprise russe –a alloué à  Podesta 100.000 actions de stock options en 2010 quand il a rejoint son conseil d’administration et ses entités  néerlandaises: Joule Global Holdings, BV et Stichting Joule Global Foundation.
Lorsque Podesta Joule a annoncé son départ du conseil d'administration en Janvier 2014 pour devenir conseiller spécial du président Obama, la compagnie lui a délivré officiellement 75.000 actions.
La même année où Podesta a rejoint Joule, l'entreprise a accepté -1 milliard Roubles - ou 35 millions $ - de Rusnano, une société d’état, ayant des liens étroits avec le président russe Vladimir Poutine.
Anatoly Chubais, le directeur général de l'entreprise et de deux autres hauts dirigeants bancaires russes ont travaillé ensemble avec Podesta à la direction de Joule. Le conseil d'administration réuni six fois par an.
Ron Hosko, ancien directeur adjoint du FBI a déclaré en raison du soutien du Kremlin, il était essentiel que Podesta divulgue les avantages financiers qu'il a reçus de la société.
Trump a également semblé avoir une connaissance préalable de cela lorsqu’il a exhorté ses partisans sur Twitter pour regarder le spectacle sur l'exposition de Podesta.
Ce jeu est fini! Après avoir passé les six derniers mois à accuser  Trump d'être un agent russe, il n'y a pratiquement aucun moyen pour les Démocrates de nier le fait que ce sont eux qui avaient des liens avec les Russes, pas Trump. Nous avons maintenant la preuve définitive des liens Clinton-Russie!  
Les médias vont-ils éreinter les démocrates maintenant? On va voir ...
Trump
En faisant la guerre à Trump, l'Amérique relance sa guerre civile
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[1] De Breitbart au Bureau ovale : Steve Bannon, le cerveau droit de Trump











Stratège mais aussi idéologue du trumpisme, Bannon semble savoir mieux que le président lui-même où mener l'Amérique.
Le conseiller spécial a le sens du combat ancré au plus profond de sa personne.
La préparation de Bannon à la guerre n’est pas dans l’apparence, elle est idéologique. Parmi ses livres de chevet on cite souvent l’Art de la guerre de Sun Tzu, et, pour les Français, Charles Maurras, un auteur incontournable pour Bannon. Mais la bataille des idées n’est pas que grandes stratégies, elle est aussi tactique. À partir de 2008, le voilà sur le sentier de la guerre. Ce n’est pas pour rien que l’on surnomme le conseiller de Trump « l’homme le plus dangereux d’Amérique ».
 « Lénine voulait détruire l’État et c’est aussi mon objectif. Je veux tout faire tomber et détruire entièrement l’establishment qui prévaut aujourd’hui », explique encore celui qui se décrit comme le « saint patron des roturiers »
Il identifie clairement la guerre de civilisation contre l’islam, celle contre la Chine comme menaces militaires.
Mais il y a aussi une troisième menace. C’est celle de « l’ennemi intérieur ». Celle qui fait que Bannon et ses fidèles agissent sachant parfaitement se savoir surveillés.
Hannibal GENSERIC