mardi 18 juillet 2017

Protocoles xv et XVI des sages de Sion



Protocole 15 - Organiser la révolution mondiale
Protocole 16 - L’enseignement

Protocole XV
01
Quand nous aurons conquis définitivement le pouvoir au moyen des coups d'État, préparés partout simultanément, pour le même jour; après qu'on aura reconnu une fois pour toutes l'incapacité des gouvernements existants des goyim (ce qui ne sera peut-être pas bientôt, peut-être à la fin du siècle ?.. ou plus tard encore ?..), nous exterminerons toute graine d'insurrection contre notre gouvernement.
02
D'abord, nous exécuterons sans pitié tous ceux qui ne prendront pas les armes en faveur de l'établissement de notre pouvoir. La fondation d'une société secrète sera punie de mort, tandis que les sociétés secrètes déjà existantes, qui nous sont connues et qui nous ont servis, seront dissoutes ; nous exilerons sur des continents éloignés ceux des Maçons qui en savent trop long... ou bien nous réduirons leur nombre, et les Maçons que pour des raisons quelconques nous autoriserons à résider en Europe, vivront dans une crainte perpétuelle de l'exil, étant donné que nous promulguerons une loi qui éloignera du centre de notre gouvernement, c'est-à-dire l'Europe, tout homme convaincu d'avoir été membre d'une société secrète, alors mêmeque cette société aurait cessé d'exister. Les décisions de notre gouvernement seront définitives et sans appel.
03
En attendant l'avènement de notre règne, nous créerons, au contraire, et nous multiplierons dans tous les pays du monde les loges maçonniques; nous y attirerons tous ceux qui sont capables de devenir de grands hommes politiques, car ces loges seront nos principales sources d'information, ainsi qu'un moyen d'influencer les hommes politiques.
04
Toutes ces loges auront un centre inconnu et seront administrées par nos Sages. Chaque loge aura son représentant apparent qui servira de paravent aux dits Sages, dont il recevra les mots d'ordre et le programme. C'est là que nous formerons le nœud de tous les éléments révolutionnaires et libéraux tirés par nous de toutes les couches de la société. Les plans politiques les plus secrets nous seront connus et tomberont sous notre direction le jour même de leur élaboration.
05
On attirera dans les loges presque tous les agents et les dirigeants de la police nationale et surtout ceux de la police internationale ; les services de cette dernière nous sont indispensables, car elle peut, sous prétexte de supprimer une insurrection, prendre des mesures contre les rebelles, masquer nos entreprises, créer des motifs de mécontentement, etc.
06
La plupart de ceux qui entrent dans les sociétés secrètes sont des aventuriers, des arrivistes et des esprits légers. Avec de tels hommes, il nous sera facile de poursuivre notre Œuvre et de mettre en marche la machine maçonnique à notre gré. Si le monde entier passe par des troubles, c'est qu'il nous était nécessaire de le troubler, afin de désagréger sa trop grande solidarité ou d'empêcher toute activité indépendante. Et s'il se trame un complot quelconque, où que ce soit, il ne pourra certainement avoir à sa tête qu'un de nos plus fidèles serviteurs. C'est ainsi que nous dirigeons l'activité maçonnique, car nous savons le but final de toute action politique et sociale, tandis que les goyim n'aperçoivent rien en dehors du résultat immédiat de tout ordre qui leur est donné ; ils ne s'attachent qu'aux avantages du moment, à une satisfaction d'amour-propre, à l'exécution de projets immédiats, sans se rendre compte que ces projets ne leur arrivent que suggérés par nous, sur notre initiative, et que c'est nous qui les leur mettons dans le cerveau.
07
Les goyim vont dans les loges par curiosité ou dans l'espoir d'avoir leur part de l'assiette au beurre ; il en est qui n'y entrent rien que pour avoir la possibilité d'exposer en public leurs utopies, ne fut- que devant un auditoire restreint. Ils ne cherchent que des applaudissements et nous ne les leur ménageons point, parce qu'il nous est utile de les habituer aux émotions du succès. Qu'il est facile de décourager les naïfs vaniteux par le moindre échec, ou simplement en les privant d'applaudissements, de succès faciles, tout en diminuant leur autorité ! C'est alors qu'il est aisé de les asservir, de les réduire à l’obéissance presque volontaire, rien que par la perspective de nouveaux succès. Autant les nôtres méprisent le succès pourvu qu'ils puissent réaliser leurs plans, autant les goyim sont prêts à sacrifier tous les leurs pour un succès personnel. Ceci nous facilite beaucoup notre tâche qui consiste à les diriger. Ces tigres en apparence ont, en réalité, des âmes de moutons et dans leurs têtes un courant d'air. Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l'individualité humaine l'unité symbolique du collectivisme.
08
On peut compter à coup sûr qu'ils ne comprennent pas que cette idée suggérée par nous va à l'encontre des lois fondamentales de la nature qui, depuis la création, enfante chaque être différent de tous les autres dans le but de donner à chacun son individualité. Le fait que nous avons pu amener les goyim à tirs tel aveuglement prouve à quel point leur développement cérébral est comparativement inférieur au nôtre ; leur cerveau est au niveau de celui des animaux ; là est la preuve de notre élection, ainsi que la garantie de notre succès.
09
Vous voyez par cet exposé combien nos Sages étaient clairvoyants lorsqu'ils élaboraient les plans de l'asservissement des goyim etnous donnaient cette maxime de ne pas nous arrêter devant les moyens, nous recommandant de ne pas tenir compte du nombre de victimes sacrifiées dans la réalisation de notre cause utile et sérieuse. Nous n'avons pas compté les goyim qui tombaient sur notre chemin, mais, en revanche, nous avons gardé les nôtres intacts et leur avons donné dans le monde une situation que les goyim ne pouvaient pas imaginer au moment où nos Sages avaient composé, avec un millier d'années d'avance, un plan d'action. Le nombre restreint de victimes que nous avons eu, malgré tout, à sacrifier parmi les nôtres, a sauvé notre race de la destruction.
10
La mort est une fin inévitable pour chacun de nous; mieux vaut la hâter pour ceux qui entravent notre œuvre que pour nos frères, qui en sont les artisans. Mais revenons aux Maçons. Déjà à notre époque nous les mettons à mort pour désobéissance et de telle façon que la fraternité seule peut se douter de l'exécution, peut-être encore les victimes elles-mêmes... Aux yeux du public, tous meurent d'une mort tout à fait naturelle et meurent juste à point. La fraternité n'ose pas protester, car nous avons ainsi extirpé des milieux maçonniques la racine même de toute velléité de protester contre nos ordres. Tout en prêchant aux goyim le libéralisme, nous maintenons notre peuple dans une obéissance rigoureuse, car là où il y a obéissance, il y a l'ordre, et là où i1 y a l'ordre, i1 y a la paix et le bien-être.
Protocole XVI
01
Quand viendra pour nous le moment de gouverner ouvertement, de montrer les bienfaits de notre régime, nous modifierons tous. les Codes existants. Nos lois seront brèves, claires, irrévocables et n'auront pas besoin d'être interprétées, étant donné que chacun les connaîtra à fond. Leur principale caractéristique sera l'obligation de l'obéissance aux autorités dans l'ordre hiérarchique. Les abus disparaîtront alors par suite de la responsabilité de tous, sans exception, devant le pouvoir suprême de notre Souverain.
02
Les abus de pouvoir dans l'administration intérieure seront si impitoyablement punis qu'on perdra toute envie de tenter de nouvelles expériences. Nous surveillerons si étroitement le moindre geste de l'administration – d'où dépend toute la marche du mécanisme gouvernemental, car la corruption dans l'administration crée la corruption générale – que pas un acte illégal, pas un abus ne restera sans punition exemplaire. La complicité par dissimulation de crises et les complaisances mutuelles abusives entre fonctionnaires, toutes ces plaies disparaîtront après les premiers châtiments exemplaires. Quiconque se rendra coupable de porter atteinte au prestige de notre foi sera puni par des châtiments en proportion avec son crime, dussent-ils même être cruels. Le coupable, subirait-il une expiation tropsévère, ressemblerait à un soldat tombant sur le champ de bataille administratif pour la cause de l’autorité intangible, c'est-à-dire de l'ordre, qui dépend de ce pouvoir. On agira ainsi pour sauvegarder le principe du prestige de l'autorité de la loi, qui ne peut admettre aucune déviation en faveur de l'intérêt personnel de la part de ceux qui conduisent le char gouvernemental. Ainsi nos juges seront avertis qu'en désirant se vanter par amour-propre d'être ou de paraître des libéraux, ils se rendent les premiers coupables de violer le principe de la justice, créé pour servir d'exemple éducatif au moyen du châtiment des fautes et non pour permettre au juge de manifester ses élans de bonté. De tels élans sont excellents dans la vie privée, mais non dans le domaine public qui est un terrain d'éducation pour les hommes.
03
Nos magistrats ne pourront exercer leurs fonctions que jusqu'à cinquante-cinq ans ; d'abord parce que les vieillards se cramponnent aux idées préconçues et se soumettent moins facilement aux directives et aux ordres nouveaux; ensuite parce que cette mesure nous permettra d'opérer des déplacements dans le personnel qui résistera moins à notre volonté ; ceux qui voudront conserver leur poste devront obéir aveuglément pour le mériter.
04
Nos juges seront choisis parmi les hommes de volonté ferme ; ils sauront que leur devoir est de châtier et d'appliquer les lois et nullement d'étaler leur libéralisme aux dépens du plan gouvernemental éducatif, ainsi que se l'imaginent actuellement les goyim qui ne comprennent pas que toute clémence est un relâchement permettant au criminel d'escompter l'impunité. Notre système de déplacement des fonctionnaires va servir à rompre la solidarité entre collègues et les attachera tous aux intérêts du gouvernement qui décidera de leur sort. Nous cultiverons chez la nouvelle génération des juges l'idée de l'immuabilité de l'ordre établi par nous dans les relations de nos sujets entre eux, et de la nécessité de châtier impitoyablement tout abus contre cet ordre. A l'heure actuelle, les juges des goyim trouvent des circonstances atténuantes à tous les crimes et disculpent les coupables par libéralisme et indulgence, car ils n'ont pas une idée très exacte de leur devoir ni de l'importance et de la responsabilité de leurs fonctions. Cela tient à ce que les gouvernants, en les nommant à des postes aussi éducatifs, ne prennent pas le soin de leur inculquer la notion du devoir et la conscience de l’œuvre qu'ils ont à accomplir. De même que l'animal envoie ses petits à la recherche de leur proie, de même les goyim confient à leurs sujets des postes lucratifs, sans songer à la nécessité de leur expliquer le but de leur emploi ni sa place dans le mécanisme social. C'est pourquoi l'existence des goyim est ruinée par ses propres forces, celles qui détiennent les fils de la vie même de leurs gouvernants, c'est-à-dire par les agissements de leur propre administration. Puisons donc dans les résultats de ces actes une leçon de plus pour notre régime. Quand sonnera l'heure de notre gouvernement, nous déracinerons le libéralisme de tous les postes stratégiques importants d'où dépendra l'éducation de nos sujets pour l'organisation du régime social, organisation qui doit être immuable. Ces postes importants ne seront confiés qu'à ceux que nous aurons formés pour diriger l’œuvre administrative. Je répondrai à l'observation de D. A. qui dit que la mise à la retraite des vieux fonctionnaires serait une charge coûteuse pour l'État : 1erOn leur procurera des emplois ou des occupations privés pour remplacer ceux qu'on leur retire ; 2èmeJe ferai remarquer ensuite que toute la fortune mondiale est entre nos mains ; j'en apporterai les preuves quand on discutera des questions financières, et, en dernier lieu, qu'il existera alors une monnaie internationale, la vraie monnaie, une sorte de jeton quifacilitera les échanges, au lieu de les compliquer comme le système actuel, créé par nous pour la ruine totale des goyim et leur asservissement par la misère. Étant donné ceci, nous n'aurons pas à nous préoccuper de l'augmentation des frais.
05
Notre absolutisme sera logique à tous égards, et, partant, inflexible dans tous ses règlements. Noue volonté sera respectée et exécutée parce que, consciente de sa force, elle ne tiendra aucun compte des mesures et des mécontentements ; lorsque ceux-ci se manifesteront par des actes, nous les réprimerons par des sanctions exemplaires.
06
Nous supprimerons le droit d'appel, qui deviendra la prérogative exclusive du Souverain, parce que nous devons rendre impossible l'idée que les juges nommés par nous peuvent rendre des sentences erronées.
07
Un tel gouvernement a, sur les ignorants, le droit du plus fort. Il doit en user pour diriger l'humanité vers le régime désigné ` par la nature elle-même, celui de l'obéissance. Tout, dans le monde, est soumis, sinon aux hommes, du moins aux circonstances ou à la nature, ou encore à quelque chose de plus fort que soi. Nous serons donc cet être supérieur : le plus fort ; nous le serons de façon absolue, sacrifiant sans hésiter tous ceux qui nuiront à nos plans ou enfreindront nos règlements, parce que la tache éducatrice consiste à exterminer le mal et toute opposition par des châtiments exemplaires.
08
Le jour où le roi d'Israël, le roi de la Maison de David, posera sur sa tête la couronne offerte par l'Europe, il deviendra le Patriarche du monde. Le nombre des victimes sacrifiées pour hâter son avènement n'atteindra jamais le nombre de celles qui furent immolées au cours des siècles par des gouvernants goyim rivaux, dans le but de satisfaire leur soif de grandeurs.